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éditorial de notre revue

N°322 (septembre 2025)

 

Garanti !

Philippe Deniard, rédacteur en chef de la revue.

Votre Nouveau dévorant est garanti sans intelligence artificielle ! Tous les articles qui composent la revue que vous avez entre les mains sont rédigés grâce à la force de frappe des doigts de nos adhérents sur le clavier, mais surtout avec toute leur intelligence humaine, leur capacité à s’émouvoir et à transmettre les émotions ressenties.

Certains sont poètes, d’autres préfèrent « raconter des histoires », d’autres encore sont plus tentés par l’analyse, la décortication des idées ou des faits et souhaitent partager les fruits de leurs réflexions. Ainsi se construit, après des lectures, des allers-retours avec les auteurs et l’équipe rédactionnelle, les services de l’imprimeur qui nous font la mise en page, votre Nouveau dévorant. Il ne s’agit pas de se risquer à intenter un procès à l’IA ; elle prouve son utilité dans bien des domaines. Tout dépend, comme pour la fission nucléaire, l’usage que l’on en fait. Ce chapitre introductif se veut incitatif, il souhaite vous encourager à nous adresser vos contributions, donc, n’hésitez pas.

Sachez, lectrices et lecteurs assidus, que ce numéro n’est pas sans particularités : il l’est de par son contenu, il l’est également quant à sa diffusion.

Comme tous les numéros de septembre, il est, en quelque sorte, une carte d’invitation à choix multiples. Vous y trouverez le règlement de notre soixante-quinzième concours littéraire : une nouvelle occasion d’écrire, de faire écrire votre entourage familial et pourquoi pas, d’inciter vos proches à se lancer. Autre proposition : celle des activités qui vous sont offertes (la liste n’étant pas close à ce jour), des ateliers d’écriture, de lecture, des conférences… Je saisis l’occasion pour remercier ceux et celles qui acceptent de préparer leurs exposés, de les présenter à un public dont on ne sait d’avance s’il fera l’effort de se déplacer, mais qui à chaque fois, la conférence terminée, s’en retourne vers ses pénates, plus riche de savoirs.

Dans ce numéro, encore, vous pourrez découvrir, si vous ne l’avez fait sur le site, les textes que vous avez préférés parmi tous ceux qui nous ont été adressés pour le jeu des « Acrostiches de printemps ». Merci à tous ceux qui ont participé, d’une façon ou d’une autre. Nous comptons sur vous pour l’année prochaine.

Sa diffusion ! En effet, mu par un désir de mieux communiquer, le CLEC a décidé d’adresser ce numéro à mesdames et messieurs les secrétaires des CASI de France. Qu’est-ce qu’un CASI, se demanderont les plus curieux ? Un acronyme ! lanceront quelques aimables plaisantins, certes ! Mais qui se cache derrière ce rempart ? CASI est l’abréviation de Comités des activités sociales, culturelles et sportives interentreprises SNCF. Ils sont vingt-et-un en France, ils assurent l’interface entre le CCGPF, que l’on ne présente plus (il a en charge les activités sociales sur le plan national) et l’ensemble des cheminots et de leur famille pouvant bénéficier des diverses activités proposées. Officiellement, les CASI sont les « acteurs constructifs de la vie associative, culturelle et sportive des cheminots, ils gèrent les activités sociales au niveau régional. Ils ont en charge la gestion des antennes et des restaurants d’entreprise selon des conceptions et des valeurs d’émancipation, d’équité et de solidarité. »

« Culturelle ! » vous avez dit culturelle ! On songera aux bibliothèques. Le Sud serait-il dépourvu de bibliothèques ? n’y en aurait-il pas à l’embouchure de la Seine ? Si fait ! mais elles ne sont pas abonnées au Nouveau dévorant ! S’agit-il d’une allergie des dirigeants ? Que nenni ! Un problème d’argent ? malgré les difficultés que rencontrent les Sociétés d’agents, nous n’osons le croire. Alors, pour permettre à encore plus de lecteurs de découvrir vos écrits, nous avons mis sur pied une grande campagne de promotion à l’usage des décideurs… Souhaitons qu’ils nous entendent et qu’ils nous lisent ; au besoin, relayez l’information. Dans un prochain numéro, nous vous rendrons compte des résultats de cette campagne.

Dans nos efforts à nous faire connaitre, nous n’oublions pas les « autres », pour les joindre, nous comptons encore sur vous, vous avez en main l’offre proposée en quatrième de couverture de notre revue : une adhésion et quatre numéros gratuits ! Mais attention, sa durée est limitée dans le temps ; parlez-en autour de vous !

Bonne rentrée à tous et à chacun, reprenons, tous ensemble, encore plus vaillamment le flambeau de notre association qui fête cette année, son soixante-treizième anniversaire !

Le CLEC applique dans toutes ses publications les règles de l'orthographe recommandée par l'Académie française

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